Et...
J'y ai réfléchi.
Je me souviens d'avoir été en colère.
Jadis.
En colère pour des broutilles, le plus souvent.
En colère parce que j'étais fatiguée, parce qu'il y avait trop à gérer, parce que j'avais l'impression de ne pas y arriver.
Et puis... J'ai grandi, j'ai vieilli, j'ai appris.
J'ai perdu beaucoup et j'ai appris que la colère n'est que de l'énergie perdue.
Elle ne soulage pas.
Non. Mieux vaut utiliser cette énergie à faire qu'à défaire.
Je râle encore, souvent, mais je ne me mets plus en colère.
Ou alors rarement, d'impuissance... Et je ne suis pas plus puissante ensuite alors...
J'écris, je parle, je laisse glisser, j'attends mon tour, je souris.
Je n'y avais jamais trop pensé jusque là. Ce n'est pas une décision que j'ai prise, c'est une évolution, dans mon ordre des choses, j'ai éloigné la colère de moi.
Voilà.
Coucou, Anne, je n'avais pas encore vu ton post su le mot et la couleur de juin, et je viens de poster un article sur mon blog qui me semble trés approprié. Je te promets d'autres articles rien qu'avec ce thème. Mais quand même, on peut dire que le hasard (s'il existe...) ne contribue pas trop mal non plus ! belle journée à toi.
RépondreSupprimerLe hasard...
SupprimerMerci. Elle fût longue et très dense.
Pour la colère, ne dit on pas qu'elle est mauvaise conseillère. Si tu peux la tenir éloignée de toi, persiste le plus longtemps que tu pourras. J'avoue que j'ai du mal à rester zen, pour ma part, je sais que ce n'est pas positif, mais ça me défoule !
RépondreSupprimerOui, parfois il faut que cela sorte.
SupprimerVoilà ma contribution c'est ici :http://deshirondellesetdespapillons.blogspot.com/
RépondreSupprimer