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dimanche 23 octobre 2016

Heur.

Suite du questionnaire de Proust:
Quel est ton rêve de bonheur?
Je dirais...
Le bonheur ça se rêve mais pas trop longtemps. Il faut surtout le vivre.
Et le bonheur pour moi est un puzzle de petits moments doux, de regards, d'éclats de rire, de calme, de remous, de créations, de rayons de soleil, de câlins, de bouchées épicées ou sucrées... Le bonheur c'est un bon quotidien. L'envie de le vivre bien.
Le bonheur je le touche du bout des doigts au milieu des miens et il serait parfait avec une plus grande sérénité... Peut être.
Quel serait ton plus grand malheur?
C'est ce qui provoque cette peur qui m'empêche d'être vraiment sereine: les perdre, les miens.
Le bonheur, le malheur sont liés... Ils sont le contenu de nos heures. Et, surement, l'un ne va pas sans l'autre. C'est souvent la grande valeur de l'un qui fait profondeur de l'autre. Sans l'un, sans l'autre la vie serait... Molle, plate, insipide...

8 commentaires:

  1. Que rajouter de plus, tu écris le reflet de mes pensées .

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  2. J'aime l'idée de vivre le bonheur plutôt que le rêver !

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  3. L'autre jour nous parlions sur un autre blog de l'espoir qui fait vivre et j'avais répondu que je préfèrais la patience à l'espoir parce qu'en effet la patience mène à quelque chose alors que l'espoir est bien souvent déçu. Dans le mot espoir il y a la non satisfaction, dans le mot patience, il y a juste une attente, on sait que ça arrivera .Et bien je ressens la même chose pour ce qui est du bonheur, il ne faut pas l'espérer mais le vivre. Je suis en accord avec toi ! Et puis, j'en ai fait l'amère expérience, le bonheur ne vient pas à soi, il faut aller le chercher ! :D Le malheur, quant à lui, il sait où nous trouver malheureusement ...

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    1. Oui, la patience...
      Tout vient à point à qui sait attendre (mais dans l'action!).

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  4. Pour moi aussi, ton texte colle assez bien avec ce que je pense. j'aime l'espérance active. Pour contrer le malheur, pour garder le bonheur.

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