Ces collègues oubliaient le ménage, les courses, la cuisine pour n'en retenir que les éventuelles siestes, retenaient le temps de travail réduit en oubliant l'argent moins gagné...
Les supporter 4 heures par jour ce n'était déjà pas une sinécure...mais 8 heures à travailler avec des fonctionnaires, au sens le plus péjoratif, c'est la galère!!!
Éplucher le vendredi des caisses de salades qui seront perdues le lundi et regarder le repas de tout un collège cramer pendant que le chef est occupé ailleurs (?!!!) c'est lamentable... Les responsables ont baissé les bras et les collégiens ne mangent plus rien.
Argh, bon appétit !
RépondreSupprimerje ne comprends pas tout! mais je retiens que Gilles n'a pas le coeur à l'ouvrage.
RépondreSupprimerBarbara: Gilles travaille, tu l'as compris dans une cuisine, il s'occupe des entrées qui sont fraîches, il est attentif à la présentation et au goût de ce qu'il propose, travaille en pensant à ceux qui vont les manger. Il travaille avec/pour un chef de cuisine qui ne cuisine plus, qui ce contente d'assembler des produits tout prêts. Hop, on ouvre le sac, hop, on met à cuire, hop, on va sauter sa collègue derrière les portes ou dans les placards...
RépondreSupprimerLes administratifs de ce charmant bouiboui sont notoirement... démissionnaires: le principal prépare principalement sa retraite depuis quelques temps déjà (il ne sera pas obligé d'aller jusqu'à 65 ans...) et l'intendante dont le bureau ressemble "à la chambre des garçons" est débordée par son travail et deux enfants...
Il faut écrire à Cyril Lignac de toute urgence!!!
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