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dimanche 29 août 2021

Projet 52/2021, 35 éme épisode: minéral.

 Projet photo avec Virginie

Je suis dans le végétal, les déchets verts, jusqu'au cou et Virginie nous demande du minéral!!!

Alors je pense à la zénitude (Aïe, j'en ai de plus en plus besoin au fur et à mesure que la rentrée se profile!) des Duyes. 

Zénitude que jamais aucun "paysagiste" en cailloux (c'est la folie en ce moment, les voisins des zones pavillonnaires se tirent la bourre pour avoir le plus mieux des volutes, les courbes, en gravier bleu, blanc, gris. Avec des bordures nettes, et éventuellement, mais rarement, une plante chic genre palmier ou olivier, en pot...(Inutile de vous dire comme j'aime: heurk!).

Alors voici le minéral, varié, "naturel", descendu des montagnes, façonné par le courant, sublimé par l'eau pure qui le "porte" en chantant (Ouais, j'ai presque bien dormi cette nuit, je suis inspirée...)...


jeudi 26 août 2021

Quelques palmes.

En ces temps de bascule... 

Juste quand l'été semble revenir pour de bon (soleil, pour de vrai, mais vent d'est, voire du nord, froid) c'est le retour "en présentiel" (terme purement éducation nationale, à opposer à distentiel (le correcteur d'orthographe ne connait pas!: la version non indemnisable du télétravail (prof toujours se démerde avec son matos, son internet... 150€ par an de prime informatique (Merde!!! Voilà que cela me reprends!!!))).

Le retour à l'école.

Mon sommeil se craquelle à nouveau.

Bien aidé par Gilles qui rentre le chat avant d'aller se coucher.

Le même chat qui, il fallait s'y attendre (c'est pour cela que je demande à ce qu'ils restent dehors la nuit), m'a réveillée en miaulant.

Il avait vomi. J'ai mis le pied dedans en allant lui ouvrir...

Sommeil cassé. Et humeur... A vomir.

Sommeil cassé, pourtant ce n'est pas faute d'exercice!

Cela a pris Gilles comme une envie de pisser (lui dit que c'est parce que les oiseaux ont quitté le nid et que c'était le moment, bien sûr!): l'opération taille de haie.

Gilles maudit cette haie (champêtre, pleine de ronces, pas aisée à tailler).

Moi je râle parce que, comme à chaque fois que l'on se lance dans l'aventure, on oublie de passer le débroussailleur au pied de la haie avant de couper. Et je m'échine à ramasser les branches (et les ronces, sur ce coup là il a entièrement raison) avec un râteau, une fourche (ça ne fonctionne pas mieux) qui se prend dans les amas d'herbes et de ronces (encore!!).

(L'avantage c'est que je n'ai pas à faire ma séance de rameur...)

Comme cela faisait au moins deux ans que la haie prenait ses aises elle était fort haute (second point à noter, avec le nettoyage préalable du pied de la haie, la tailler plus régulièrement, ne pas se laisser dépasser...), Gilles a eu l'idée d'emprunter les échasses de plaquiste de Simon pour gagner en hauteur. Mais, fort raisonnablement (ouf!), il a laissé Arthur s'en servir (avec aisance, après quelques réglages).

Bref! Nous avons tous les trois les bras et les jambes (et les épaules pour moi qui ai pris un paquet de ronces sur la tête) rayés de griffures. La haie a perdu presque un mètre en hauteur, cinquante centimètres en épaisseur (les mûres repérées par Martine... Désolée, il te faudra trouver une autre haie) et nous y avons "gagné" le droit de transférer 3 mètres cubes de déchets verts à la déchèterie (prévu ce matin).

Et, avant, après...

Je suis allée à l'école.

Aux écoles plutôt.

Celle que je quitte, pour récupérer le canapé. La collègue qui me remplace à la direction n'avait plus d'internet, plus de téléphone. Les tables et chaises n'étaient pas livrées. Avec Gilles nous avons chargé le canapé et quelques encouragements rapides plus tard, nous sommes partis.

Pour la "nouvelle" école. Où le canapé a trouvé sa place (approuvée par la dame qui s'occupe de l'entretien et de qui j'ai fait la connaissance).

J'y suis retournée ensuite, pour installer les tables, pour réfléchir in situ à la déco, à l'ambiance...

Dans une semaine, tout pile, ce sera l'ouverture de l'ULIS. 

Dans une semaine ce sera la rentrée (Clovis est enfin inscrit à la fac, nous attendons sa date de rentrée, son emploi du temps (il fait genre "pas de tracas"), Suzanne a essayé toutes ses tenues, quel temps fera t-il? pour être au top le jour j (elle se tracasse, elle bien clairement, quelle classe? avec quelles copines? quels profs?)).

Et après la palme des chats chiants, celle de la haie piquante, celle du tailleur sur échasses, celle du plus gros tas de déchets verts, celle d'avoir eu la bonne idée (d'avoir laissé la direction entre d'autres (bonnes) mains), celle des plus beaux rideaux, j'espère avoir la palme de la rentrée sereine.

dimanche 22 août 2021

Projet 52/2021, 34 éme épisode: vêtement.

Projet photo avec Virginie

Et ce dimanche sortons couverts. D'autant plus qu'Août nous la joue... Très bof.

Mais, saison estivale oblige, malgré les 18° nuageux, le T-shirt est de rigueur (sous un sweat ou une petite laine dès que l'on met un pied dehors).

De rigueur mais... Un peu punk sur les bords, non?

Pink  punk même, non?

samedi 21 août 2021

Vrac de vacs.

Voyons...

Mercredi, avec Suzanne nous sommes allées chez le coiffeur.

Il m'a un peu ratée (j'ai la mèche qui bique), il a parfaitement réussi le carré de Suzanne.

Le soir Manou, Pierre, Zazie et Colette sont venus manger à la maison. Nous avons réussi, avec un pull, ou une veste, à prendre l'apéro dehors. Pour le reste de la soirée nous sommes rentrés.

Jeudi c'est chez Annaïg et Hervé que nous avons passé la journée.

Avec Gilles nous avons inversé les tâches que l'on nous avait attribuées.

Il est allé gratter le ré agréage de la chambre pendant que je transformais le casier basculant en tiroir coulissant.

Une fois la mission accomplie nous nous sommes retrouvées, comme au bon vieux temps (nous étions en 5éme...), aux toilettes.

Et le temps n'a quasiment pas laissé de traces...

N'est ce pas?

 
Vendredi nous avons reçu de, bonnes, nouvelles de Victor et Emma, Arthur est allé se faire tester (virusdontonneprononcepluslenom tellement on en a marre d'en entendre parler), Clovis est parti chez Rachel pendant que nous étions chez Colette où, fatiguée, très fatiguée, j'avais oublié mon sac à main... Et les nouvelles de Bidule (Dont le second prénom est Albert. Merci les jeunes!) sont bonnes.
 
Voilà...

De plus en plus on entend parler de la rentrée (Nous avons fait les courses de fournitures pour Suzanne (c'est sûrement ça qui m'a tant fatiguée)) mais... Mode vacances encore activé.

Encore un peu...
 

mercredi 18 août 2021

Depuis Paris...

Il y a eu samedi.

Le rendez vous kayac y avait été avancé (dimanche était déjà programmé pour d'autres activités, pour les uns comme pour les autres).

Et cette fois Suzanne en était.

Au moins pour les deux premières heures.

Quand je les ai rejoint, à l'heure du pique nique avec Clovis et Rachel, elle a laissé les pagaies à Clovis.

(Qui a commencé par faire naufrage)

Simon, Arthur, Gilles et Clovis ont continué...

(Là c'est Arthur et Simon qui ont chaviré) (Il faut dire qu'à deux sur le même "bateau"...)

(Là c'est Suzanne qui résiste vaillamment à l'abordage de ses frères)

Tout cela nous a amené en début de soirée (Gilles était cuit, Clovis avait mal au dos, ils ont fait des kilomètres et des kilomètres...) chez Simon et Cynthia (et Bidule, nettement visible désormais) pour boire en coup bien mérité.

Dimanche.

 C'est une après midi/soirée...

...pour une GPPB (Garden Pool Party Bouf) qui a réuni le noyau dur...

...de collègues/amis qui...

Ne préparent pas la rentrée.
 

Et puis ce mardi (après un lundi de ménage/lessive/vaisselle, et après avoir constaté que le réparateur d'électroménager est toujours en vacances) il y a eu l'opération trifouillage de tuyaux.

Et c'est là que le bidule super pratique pour débrancher l'arrivée d'eau s'avère... Simple en fait, quand on sait (merci Simon).

Et voici l'objet du délit!

Un mois à se coltiner la vaisselle dans un évier un bac (heureusement nous n'avons pas été trop nombreux!) à cause d'un joint plié, tassé dans le tuyau d'évacuation d'eau (mais comment est-il arrivé là?!)!!!

Et vous Août c'est comment?

lundi 16 août 2021

Art en rues (et jardin). Paris gagné.

Ce jeudi 12 Août Suzanne était prête avant Gilles. 

Ce n'est pas tous les jours que la destination du jour est Paris!

(et elle avait noté que j'avais dit que l'on se garerait dans le parking d'un centre commercial, elle avait une idée derrière la tête)

Mais tout d'abord nous sommes arrivés à trouver une place de stationnement au bout de la rue Jussieu, pile devant l'une des entrées du jardin des plantes. Nous avons discuté un peu du bien fondé de payer, ou non le stationnement. Gilles était sûr qu'il était gratuit au mois d'Août: "Regarde les autres [voitures] n'en n'ont pas [de ticket]!". Rien là dessus sur le grand internet alors nous avons pris un ticket à borne qui demande si nous sommes abonnés, ou résidents (sans doute pour cela qu'ils n'ont pas de ticket).

Nous avons donc abordé le jardin des plantes par les coulisses, en quelque sorte.

Et nous avons pique niqué au pied de la gloriette de Buffon.

Avant de faire un tour entre le muséum d'histoire naturelle et les serres.

 Gilles en verrait bien une dans ce genre dans le jardin. Je suis un poil dubitative...

Hop! Récupération de la voiture au pied de l'Institut de Physique du Globe de Paris direction la place d'Italie!

Voiture rangée sous le centre commercial convoité par Suzanne nous voilà à pied par les rues de la butte aux cailles!

Et nous ne sommes pas trop de trois paires d'yeux pour tout voir...

(Pause pipi)

Je découvre le Paris des petites rues tranquilles.

Il fait beau (Suzanne dit: "Trop chaud!").

Il y en a pour tous les goûts.

Du meilleur comme du moins bon.

Des artistes connus, ou non.

Nous traversons la place d'Italie.

Pour nous diriger vers l’hôpital de la Salpêtrière.

Et revenons vers la place d'Italie par le boulevard Auriol.

Là Suzanne a soif, est fatiguée...

Gilles a les traits tirés.

Alors je renonce à une partie de mon "programme".


Et nous retournons vers la voiture.

Oups! Vers le centre commercial. Fatiguée, oui, assoiffée, ok, mais pas prête à renoncer aux magasins repérés.

Alors, que ne ferait-on pour ses enfants, nous voilà dans le ventre climatisé et gardienné de la bête.

La première boutique, décevante n'a pas le pantalon rêvé, pas sa taille. Mais qu'à cela ne tienne, la boutique voisine pourrait...

Elle peut. Il y a l'article tant espéré, dans la bonne taille. Mais nous sommes dans une espèce de troisième dimension... Où l'on fait la queue devant les cabines, qui sont arrosées de parfum entre chaque client (déjà qu'avec le masque c'était pas très respirable. J'ai cru faire un malaise!), où l'on fait la queue devant les caisses. La caisse en fait. Pendant que 15 clients les bras chargés coupent le magasin en deux, nous avons tout les temps d'admirer le seul caissier faire le boulot pendant les quatre autres font la roue, se donnent des ordres en cascade, numéro 1 qui dit à numéro 2 qui dit à numéro 3 qui se défile au profit de numéro 4 (qui n'a jamais fait) de prendre l'une de quatre caisses libres...

Voilà, voilà...

Suzanne a eu son pantalon, Gilles a survécu et j'ai ramené presque 300 photos de street art.