Dimanche pluvieux...
Le matin je suis allée chercher du pain (20 minutes de queue avec les martinets qui tournaient autour de nos têtes comme si ces bizarres humains n'avaient aucune importance à leurs yeux. Ce qui est sans doute le cas) puis j'ai récupéré Clovis.
J'avais pour projet de faire la reconnaissance des futures randos (école) mais...
Je n'avais, pour une fois, pas envie de marcher seule.
Nous avons mangé, fait une petite sieste, un peu végété devant la télé puis je me suis mis un coup de pied au cul. Que Gilles a douché en me faisant remarquer qu'il pleuvait.
Ah?
Tant pis!
Et c'est au moment où je me préparais que j'ai remarqué qu'il le faisait aussi. Gilles.
Alors qu'il avait dit non, tout compte fait c'était oui.
C'est donc à deux que nous avons pris la route, puis les chemins, pour aller chez Simon et Cynthia (pour la reconnaissance il reste mercredi, et puis samedi et dimanche, n'est ce pas?).
Il ne faisait pas froid, mais nous avons pris une averse (du coup tu transpires sous ton coupe vent et tu es mouillé quand même, de l'intérieur, en quelque sorte).
Nous avons trouvé Cynthia et sa maman en pause de peinture de tuyaux de radiateurs et Simon, son beau père et Victor à la douche (dans la douche même!).
Décidément nos jeunes ont un goût très sûr!
Et c'est posé au millimètre (et au niveau).
Simon ne supporterait pas un défaut qui lui sauterait aux yeux chaque jour (si vous voyez ce que je veux dire). N'est ce pas?
Nous avons proposé notre aide, Gilles a jeté un œil au jardin, j'ai jeté un œil au figuier (zut, j'ai oublié d'aller voir les groseilles roses), puis nous avons pris le chemin du retour.
Le temps de notre visite les nuages s'étaient déchirés, morcelés, désagrégés...
Et nous nous sommes déshabillés en chemin (surtout moi).
Et pendant que Gilles volait quelques fraises des bois...
...nous nous sommes réjouis d'être passés en été, le temps d'un aller retour.